rien n'est plus rapide que le vent mais moi je peux l'égaler
se sont les dernieres paroles dites par atomikaya avant qu'il ne s'élance dans une course éffrainés conte lui-même. Il court si vite qu'il ne sent plus c'est jambes, il a l'impression d'avoir des ailes d'en le dos, il court tant et si bien que le liévre prend la plaçe de l'escargotet et que l'aigle prend celle du canaris enférmés dans sa cage. plus moyens d'avancer au sol recouvert d'épine et trou, casse la tienne il monte sur un arbre et continu sa course en sautant d'arbres en arbres, jusqu'a se qu'il arrive au bout d'une falaise s'arretant au millimèttre prés et regarda un soleil fatiguer se couchés au loin
il vaudrait mieu que je rentre il va bientot faire nuit
et il repartit pour la même course mais cette foici il courut encore plus vite comme s'il avait était revitalisé par les rayons du soleil de se fait il arriva avant qu'il fasse nuit et quand il retrouva son lit a l'internat de l'académie il s'endormit en n'ayant qu'une seule idée en tête, recommençer j'usqua se qu'il arrive a dépasser le vent.